On constate déjà des actions dans ce sens : des États ont reconnu des droits comme personne morale à des fleuves et des forêts. Ici, une démarche similaire a été lancé pour la Loire. Cela permet aux collectifs citoyens qui défendent ces ressources naturelles de dénoncer les écocides, les crimes contre la nature et les espèces vivantes, et d’attaquer plus facilement en justice celles et ceux qui leur nuisent.
À Nantes, Alternatiba a participé à une table-ronde sur la justice climatique le 13 novembre dernier, dans le cadre du Festival des Solidarités. Autour des micros ce soir-là, La Ligue des Droits de l’Homme, très vieille association de lutte pour les droits humains, Oxfam ONG de développement qui mène aussi des campagnes de plaidoyer pour la solidarité internationale et porte avec d’autres l’Affaire du Siècle et Alternatiba et le GIGNV. Nous sommes allés à la rencontre des intervenant⋅es pour savoir comment ces associations voient la justice climatique. Comment utilisent-elles l’arme du droit au service de cette justice ? Quelles sont leurs différents mode d’action pour faire progresser la justice climatique et environnementale ?
La table-ronde est disponible en podcast en intégralité sur le site de Jet FM.
Et pour notre rubrique Le Climat et moi et moi, une rencontre avec Amadou, membre actif d’Alternatiba Dakar. Amadou est venu participer à une table ronde intitulée “Quelles solutions africaines au changement climatique ?” et disponible en intégralité sur Jet FM.
Merci au Festival des Solidarités, coordonné à Nantes par la Maison des Citoyens du Monde, qui nous a permis de réaliser toutes les interviews de cette chronique.
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